Jan,
Ingénieur brevets chez Santarelli à Paris

Jan Bertam Ingénieur Brevets Santarelli

Qu’est-ce qui vous a motivée à rejoindre Santarelli ?

Le cabinet Santarelli m’a offert l’opportunité de découvrir le métier du conseil en brevets d’invention, en créant un cadre propice à l’apprentissage et en m’accordant la confiance nécessaire. Ceci m’a permis de monter rapidement en compétences dès mes débuts au cabinet, sous la supervision de Conseils expérimentés avec lesquels j’ai traité des dossiers variés et formateurs. C’est cet ADN du cabinet, reconnaissable dès ma première rencontre avec les associés du cabinet, qui m’a convaincu de rejoindre les équipes parisiennes après l’obtention de mon diplôme d’ingénieur.

Quelles sont vos principales missions en tant qu’ingénieur brevets ?

J’interviens principalement sur des sujets liés aux brevets d’invention, en particulier dans le domaine de la mécanique, en intervenant aussi bien au cours des procédures d’examen devant les Offices de brevets qu’au cours de procédures d’opposition, ainsi que dans le cadre de litiges de propriété industrielle. Mon travail débute avec l’identification du besoin client et l’élaboration d’une stratégie de propriété industrielle, en passant par la constitution de divers droits, notamment la rédaction et le dépôt de demandes de brevet, et allant jusqu’à la défense de ces droits ainsi que la mise en cause de droits concurrents pour le compte de mes clients.

Qu’est-ce qui vous anime au quotidien dans ce poste ?

Le métier de Conseil en brevets implique à la fois un sens pour le relationnel et la compréhension des enjeux commerciaux et stratégique de nos clients, et un sens pour la rigueur juridique et technique nécessaire pour le traitement au fond des dossiers. C’est cette richesse, qui ne m’enferme pas dans un rôle figé, qui me motive au quotidien dans ce métier. C’est également un métier qui impose par sa nature une stimulation intellectuelle constante pour rester au fait des dernières actualités, techniques d’une part, et juridiques d’autre part. Enfin, c’est un métier d’expérience dans lequel on apprend durant toute sa carrière, et l’on prend plaisir à transmettre cette expérience aux prochaines générations.

Il faut compter l’obtention d’un diplôme de deuxième cycle scientifique ou technique, généralement en 5 ans après le bac, ainsi que d’un diplôme universitaire en droit des brevets délivré par le Centre d’études internationales de la Propriété Intellectuelle (CEIPI) .

Chez Santarelli, les ingénieurs juniors sont encadrés par des seniors qui les forment et les accompagnent jusqu’à l’obtention des titres de Conseil en propriété industrielle (CPI) et de Mandataire agréé devant l’OEB, au moins pendant leurs trois premières années au cabinet.

Au-delà des connaissances techniques dans son domaine d’expertise et de la connaissance de la législation, des compétences sont indispensables pour réussir dans ce métier :

  • Art de la négociation : outre la connaissance juridique, il faut avoir un bon relationnel et une aisance verbale, savoir être convaincant, diplomate afin de négocier au mieux avec l’adversaire de notre client.
  • Maîtrise de l’anglais : c’est indispensable! Nous intervenons pour nos clients dans le monde entier et collaborons au quotidien avec un réseau international de correspondants. Les directives communautaires et les grandes règles internationales sont rédigées en anglais. 

Voici leurs parcours :